L’activitĂ© physique regroupe Ă la fois l’exercice physique de la vie quotidienne, l’activitĂ© physique de loisirs, et la pratique sportive. Selon l’OMS, le sport est un « sous-ensemble de l’activitĂ© physique, spĂ©cialisĂ© et organisĂ© ».
Substance jouant un rĂ´le d’hormone et de neurotransmetteur, sĂ©crĂ©tĂ©e par les nerfs vĂ©gĂ©tatifs sympathiques et surtout par la glande mĂ©dullosurrĂ©nale. (L’adrĂ©naline accĂ©lère le rythme cardiaque, augmente la pression artĂ©rielle, dilate les bronches et les pupilles, Ă©lève la glycĂ©mie.)
indique que le symptôme dure depuis moins de 6 semaines (indépendamment de son intensité).
Douleur pour des stimulations non douloureuses chez le sujet normal
Les anticorps antinuclĂ©aires correspondent Ă une variĂ©tĂ© d’anticorps qui sont des auto-anticorps que possèdent certains individus, dirigĂ©s contre un ou plusieurs Ă©lĂ©ments du noyau de leurs propres cellules, et qui sont alors considĂ©rĂ©s comme des antigènes (corps Ă©tranger Ă l’organisme).
L’antigène HLA B27 est une protéine que l’on retrouve normalement à la surface des globules blancs de certaines personnes. Il existe un lien statistique entre la présence de cet antigène et la spondylarthrite. En effet, l’antigène HLA B27 est retrouvé chez 8% des personnes sans spondylarthrite et chez 60 à 90% des personnes souffrant de spondylarthrite. Cependant, on ne sait toujours pas quel lien existe entre l’antigène HLA B27 et la spondylarthrite.
Pathologie du sommeil provoquant des diminutions et des arrĂŞts du flux respiratoires pendant le sommeil.
L’articulĂ© dentaire est le rapport entre les dents qui s’opposent au moment de la fermeture de la bouche. On l’appelle aussi occlusion.
Augmentation de l’épaisseur de la paroi des artères, liée à un « encrassement » avec comme risque de boucher cette artère et d’empêcher le sang de passer.
Méthode douce, non-traumatisante
Qui se développe à l’aide de ses éléments propres, sans secours extérieur.
Une biopsie consiste en le prélèvement d’un petit morceau d’organe (peau, rein, poumon…). L’analyse au microscope permet de déterminer l’origine de l’inflammation.
Les traitements biologiques sont des mĂ©dicaments qui agissent directement sur les mĂ©canismes en cause dans de nombreuses maladies chroniques inflammatoires, dont certains rhumatismes. Ils ciblent spĂ©cifiquement les molĂ©cules responsables de l’inflammation et de l’Ă©rosion articulaire.
Les capillaires sont des tous petits vaisseaux qui font le lien entre les artères et les veines.
Element de base biologique qui structure les tissus ou organes des ĂŞtres vivants
Les macrophages, les lymphocytes T et B. Ces dernières produisent les anticorps. Ces trois types de cellules peuvent communiquer entre elles. Des cytokines dont les plus connues sont l’Anti TNF, l’interleukine 1 et 6. Ces cytokines sont fabriquĂ©es par les cellules impliquĂ©es dans la dĂ©fense contre l’inflammation. Leur rĂ´le est de servir de messager c’est-Ă -dire de transporter un message Ă distance et d’aider dans l’élimination de l’agresseur.
Indique que le symptĂ´me dure depuis plus de 3 mois.
La colite désigne une inflammation de la muqueuse du gros intestin et se traduit par différents troubles intestinaux. La colite correspond à une inflammation de la muqueuse du gros intestin (côlon) et se traduit par différents troubles intestinaux, entre autres, par une diarrhée et par des douleurs abdominales
Le coping est en quelque sorte la manière utilisĂ©e par les individus pour apprĂ©hender le facteur de stress. Le coping, au final, englobe l’Ă©motion produite et le mĂ©canisme ou si l’on prĂ©fère le plan d’action mis en place pour s’adapter Ă ce stress.
Ils désignent une famille de substances (hormones) proches de la cortisone. Ils peuvent être naturels (produits par les glandes surrénales) ou de synthèse (apportés par les médicaments). Les corticoïdes naturels sont nécessaires au métabolisme cellulaire. Les corticoïdes de synthèse sont utilisés dans de multiples pathologies en raison de leur vertu anti-inflammatoire.
La crĂ©nothĂ©rapie ou cure thermale correspond Ă l’« l’utilisation des eaux minĂ©rales naturelles dans un but thĂ©rapeutique ». Elle dure trois semaines (18 jours) et se dĂ©roule dans une station thermale
Les cytokines sont des glycoprotĂ©ines, des molĂ©cules constituĂ©es Ă la fois de glucides et de protĂ©ines. Certaines sont produites naturellement par certains types de globules blancs et sont capables de communiquer entre elles pour gĂ©nĂ©rer des rĂ©actions globales. D’autres ont des actions dans la lutte contre les phĂ©nomènes inflammatoires, ou de diminution des mĂ©canismes de l’immunitĂ© c’est-Ă -dire de la dĂ©fense de l’organisme. Certaines ont un effet agissant contre des virus. Enfin des cytokines autorisent la spĂ©cialisation de cellules Ă partir d’une cellule souche. Les cytokines sont Ă©galement utilisĂ©es en thĂ©rapeutique pour traiter certaines infections, des maladies auto-immunes ou des cancers.
L’échographie est une méthode d’exploration non invasive qui repose sur l’utilisation des ultrasons. Les échos renvoyés par les organes, permettent en effet de visualiser ce qui est invisible à l’œil, voire aux rayons X.
Examen ayant l’objectif d’étudier le sommeil sur un plan physiologique, en procĂ©dant Ă l’enregistrement simultanĂ© de donnĂ©es cardiaques, musculaires, cĂ©rĂ©brales et respiratoires.
L’enthĂ©site est l’atteinte inflammatoire d’une enthèse, ou insertion d’un tendon.
Petite protéine qui intervient dans les réactions chimiques du corps
L’ergothĂ©rapie est une spĂ©cialitĂ© paramĂ©dicale destinĂ©e aux personnes souffrant de handicaps, notamment ceux d’ordre moteurs et psychomoteurs. L’ergothĂ©rapeute aide les patients, notamment ceux en perte d’autonomie, dans leur vie quotidienne, professionnelle, ou scolaire, Ă se rĂ©adapter Ă leur cadre de vie, Ă l’aide de diffĂ©rents types de soins, de conseils et d’activitĂ©s Ă©ducatives.
Le facteur rhumatoĂŻde (FR) est une protĂ©ine anormale possĂ©dant une activitĂ© d’auto-anticorps, c’est-Ă -dire d’un anticorps d’un organisme rĂ©agissant contre les propres cellules de cet organisme.
La fibrose intervient souvent Ă la suite d’une lĂ©sion tissulaire ou d’une inflammation d’un tissu oĂą ceux-ci ne se rĂ©gĂ©nèrent pas correctement : les tissus initialement sains sont alors remplacĂ©s par un tissu fibreux. Le tissu perd alors sa souplesse, son Ă©lasticitĂ©, il devient plus rigide ; on parle alors de sclĂ©rose.
Lors d’une lĂ©sion tissulaire, l’Ă©volution normale se fait vers la cicatrisation, c’est-Ă -dire le remplacement des cellules mortes par des cellules identiques dont les fonctions sont conservĂ©es.Â
Disparition complète et persistante des symptômes, et ce malgré l’arrêt des traitements, au cours de cette pathologie
L’hypertension artĂ©rielle pulmonaire (ou HTAP) est une complication rare, souvent plus tardive. L’HTAP est dĂ©finie par l’augmentation de la pression du sang dans les artères pulmonaires qui fait suite Ă l’obstruction progressive des petits vaisseaux pulmonaires (artĂ©rioles). Ces vaisseaux s’Ă©paississent et se bouchent progressivement, laissant moins bien passer le sang qui normalement doit retourner vers le cĹ“ur.
Perception anormalement importante de stimulations douloureuses
L’hypertension artĂ©rielle pulmonaire (ou HTAP) est une complication rare, souvent plus tardive. L’HTAP est dĂ©finie par l’augmentation de la pression du sang dans les artères pulmonaires qui fait suite Ă l’obstruction progressive des petits vaisseaux pulmonaires (artĂ©rioles). Ces vaisseaux s’Ă©paississent et se bouchent progressivement, laissant moins bien passer le sang qui normalement doit retourner vers le cĹ“ur.
L’hĂ©rĂ©ditĂ© est la transmission, au sein d’une espèce vivante ou d’une lignĂ©e de cellules, de caractĂ©ristiques d’une gĂ©nĂ©ration Ă la suivante.
Se dit d’une maladie ou d’un symptĂ´me dont la cause est inconnue
Les infiltrations consistent Ă injecter localement un mĂ©dicament, le plus souvent un anti-inflammatoire de la famille des corticoĂŻdes, dans la zone de la lĂ©sion Ă traiter. Le but est d’augmenter l’efficacitĂ© de ce mĂ©dicament par rapport Ă une prise par voie orale.
Altération du fonctionnement des reins, pouvant entrainer des anomalies de filtration et d’élimination des produits du métabolisme comme urée… : et de l’eau qui s’accumule dans les tissus au lieu d’être éliminé sous forme d’urine.
La kinĂ©sithĂ©rapie est une spĂ©cialitĂ© paramĂ©dicale qui permet Ă un professionnel diplĂ´mĂ© de travailler sur diffĂ©rentes formes de rééducation, le renforcement musculaire, la mobilitĂ© et l’endurance d’un patient. La kinĂ©sithĂ©rapie est très utilisĂ©e Ă la suite d’une blessure, d’une intervention chirurgicale ou d’un Ă©vĂ©nement traumatisant pour le corps humain. La kinĂ©sithĂ©rapie concerne aussi bien le squelette que les fonctionnalitĂ©s de l’organisme. Elle amĂ©liore la qualitĂ© de vie du patient.
C’est un cancer du système lymphatique qui se manifeste par une augmentation de volume des ganglions de façon indolore.
Une maladie (ou syndrome) auto-inflammatoire est une maladie qui se caractĂ©rise par une rĂ©action anormale du système immunitaire innĂ©. Outre les agents infectieux (virus, bactĂ©ries), l’organisme attaque Ă©galement des substances ou des tissus qui le composent. Ces maladies se manifestent par des crises de fièvre, des douleurs abdominales et articulaires, des Ă©ruptions cutanĂ©es et des troubles de la vision.
Une maladie inflammatoire dĂ©signe la prĂ©sence d’une inflammation pouvant toucher la plupart des organes et tissus du corps humain : système digestif, système nerveux, Ă©piderme, articulations…
La sensation de miction est un mĂ©canisme naturel destinĂ© Ă vider la vessie. Une miction impĂ©rieuse provient gĂ©nĂ©ralement d’une augmentation de la production d’urine, par exemple en cas de diabète, ou sous l’effet de mĂ©dicaments diurĂ©tiques Ă la suite d’une insuffisance cardiaque ou d’hypertension. L’irritation de la muqueuse en cas d’inflammation des voies urinaires ou de la prostate, ou bien en cas d’autres maladies du système urogĂ©nital, entraine souvent une miction impĂ©rieuse.
Se réfère à une pathologie dont les symptômes sont aggravés par l’effort et améliorés par le repos.
Le neuromédiateur ou médiateur chimique est une substance chimique (appelée également neurotransmetteur), fabriquée par l’organisme et permettant aux cellules nerveuses (neurones), de transmettre l’influx nerveux (message), entre elles, ou entre un neurone et une autre variété de cellules de l’organisme (muscles, glandes).
caillot de sang qui bouche une veine. Le risque s’il se détache est de boucher les vaisseaux des poumons et d’entrainer une embolie pulmonaire.
Relatif Ă la plèvre, c’est-Ă -dire la membrane qui enveloppe les poumons au niveau de la paroi du thorax.
Anomalie pulmonaire comprenant des lésions de la paroi de l’alvéole, vaisseaux compris.
PrĂ©lèvement de liquide prĂ©sent au niveau de l’articulation Ă l’aide d’un trocard avec ou sans seringue.
Un terrain génétique favorisant le déclenchement de la maladie, ce qui explique l’existence de familles où plusieurs personnes sont malades, mais ce n’est pas à proprement parler une maladie génétique
Le psoriasis est une maladie inflammatoire de la peau. Il se caractĂ©rise gĂ©nĂ©ralement par l’apparition d’Ă©paisses plaques de peau qui desquament (qui se dĂ©tachent sous formes « d’écailles » blanches). Les plaques apparaissent Ă diffĂ©rents endroits du corps, le plus souvent sur les coudes, les genoux et le cuir chevelu. Elles laissent des zones de peau rouge.
Absence d’activitĂ© de la maladie.
La fibrose intervient souvent Ă la suite d’une lĂ©sion tissulaire ou d’une inflammation d’un tissu oĂą ceux-ci ne se rĂ©gĂ©nèrent pas correctement : les tissus initialement sains sont alors remplacĂ©s par un tissu fibreux. Le tissu perd alors sa souplesse, son Ă©lasticitĂ©, il devient plus rigide ; on parle alors de sclĂ©rose.
Lors d’une lĂ©sion tissulaire, l’Ă©volution normale se fait vers la cicatrisation, c’est-Ă -dire le remplacement des cellules mortes par des cellules identiques dont les fonctions sont conservĂ©es.Â
Il s’agit d’un outil d’incapacité fonctionnelle spécifique de la polyarthrite rhumatoïde. L’évaluation porte sur la semaine écoulée et porte sur 8 domaines étudiant l’activité physique. Pour chacun des domaines d’activité, 2 à 3 items sont décrits. Quatre types de réponses sont possibles : cotation de 0 à 3 (sans aucune difficulté, avec quelque difficulté, avec beaucoup de difficulté, incapable de le faire). Un score global de « 0 » signifie l’absence d’incapacité, alors qu’un score à « 3 » correspond à une incapacité maximale.
Relatif au corps dans sa dimension physique, par opposition à sa dimension psychique; Relatif au soma, aux cellules non reproductrices
La sophrologie est une technique de dĂ©veloppement personnel, qui s’intĂ©resse Ă l’Ă©tude de la conscience individuelle, dans une approche phĂ©nomĂ©nologique visant Ă tenir compte de l’historicitĂ© de chacun.
La spasmophilie est un syndrome caractérisé par une prédisposition aux crises de tétanie. La spasmophilie est liée à une hyperexcitabilité neurologique des muscles, intermittente et qui survient par des crises dont les symptômes peuvent varier.
Les squames sont des fines lamelles Ă©pidermiques provenant de la couche la plus externe de l’Ă©piderme (stratum corneum), qui se dĂ©tachent de la peau lors de certaines affections, comme l’eczĂ©ma, un coup de soleil ou la rougeole. Cette chute des squames est appelĂ©e desquamation.
Indique que le symptĂ´me dure depuis plus de 6 semaines et depuis moins de 3 mois.
La substance P est le premier neuropeptide Ă avoir pu ĂŞtre purifiĂ© sous forme de poudre, d’oĂą son appellation (P pour poudre). Elle joue un rĂ´le essentiel dans le système nerveux central oĂą elle assure plusieurs fonctions. D’une part elle rĂ©gule l’anxiĂ©tĂ© et les troubles de l’humeur. D’autre part, elle intervient dans le mĂ©canisme de la douleur en permettant l’activation des neurones transmettant les informations douloureuses. En raison du rĂ´le qu’elle joue dans les nausĂ©es, certains mĂ©dicaments consistent Ă bloquer les rĂ©cepteurs de la substance P pour empĂŞcher les vomissements.
Augmentation des marqueurs sanguins de l’inflammation, comme la protéine C réactive (CRP) supérieure à 10 mg/l, et/ou la vitesse de sédimentation (VS) supérieure à 10 mm la 1ère heure
Le système immunitaire regroupe l’ensemble des processus et des mĂ©canismes de dĂ©fense mise en oeuvre par un organisme pour lutter contre l’attaque d’Ă©lĂ©ments Ă©trangers. Lorsque le système immunitaire est sollicitĂ©, on parle alors de rĂ©ponse immunitaire.
Activité physique faible ou nulle
La sĂ©rotonine est un neurotransmetteur, substance qui permet de transmettre l’influx nerveux entre les neurones.
Maladie auto-immune de la thyroïde avec sécrétion d’auto-anticorps contre les cellules thyroïdiennes  les plus fréquentes étant la maladie de Hashimoto et la maladie de Basedow
Une uvĂ©ite est une inflammation de l’uvĂ©e (iris, corps ciliaires et /ou choroĂŻde).
fièvre jaune, ROR, BCG
Structures mobiles dans le cœur, jouant le rôle de « portes battantes », qui oblige le sang a toujours aller dans le même sens dans le cœur et l’empêche ainsi de repartir en arrière
Structures mobiles dans le cœur, jouant le rôle de « portes battantes », qui oblige le sang a toujours aller dans le même sens dans le cœur et l’empêche ainsi de repartir en arrière.
L’activitĂ© physique regroupe Ă la fois l’exercice physique de la vie quotidienne, l’activitĂ© physique de loisirs, et la pratique sportive. Selon l’OMS, le sport est un « sous-ensemble de l’activitĂ© physique, spĂ©cialisĂ© et organisĂ© ».
Substance jouant un rĂ´le d’hormone et de neurotransmetteur, sĂ©crĂ©tĂ©e par les nerfs vĂ©gĂ©tatifs sympathiques et surtout par la glande mĂ©dullosurrĂ©nale. (L’adrĂ©naline accĂ©lère le rythme cardiaque, augmente la pression artĂ©rielle, dilate les bronches et les pupilles, Ă©lève la glycĂ©mie.)
indique que le symptôme dure depuis moins de 6 semaines (indépendamment de son intensité).
Douleur pour des stimulations non douloureuses chez le sujet normal
Les anticorps antinuclĂ©aires correspondent Ă une variĂ©tĂ© d’anticorps qui sont des auto-anticorps que possèdent certains individus, dirigĂ©s contre un ou plusieurs Ă©lĂ©ments du noyau de leurs propres cellules, et qui sont alors considĂ©rĂ©s comme des antigènes (corps Ă©tranger Ă l’organisme).
L’antigène HLA B27 est une protéine que l’on retrouve normalement à la surface des globules blancs de certaines personnes. Il existe un lien statistique entre la présence de cet antigène et la spondylarthrite. En effet, l’antigène HLA B27 est retrouvé chez 8% des personnes sans spondylarthrite et chez 60 à 90% des personnes souffrant de spondylarthrite. Cependant, on ne sait toujours pas quel lien existe entre l’antigène HLA B27 et la spondylarthrite.
Pathologie du sommeil provoquant des diminutions et des arrĂŞts du flux respiratoires pendant le sommeil.
L’articulĂ© dentaire est le rapport entre les dents qui s’opposent au moment de la fermeture de la bouche. On l’appelle aussi occlusion.
Augmentation de l’épaisseur de la paroi des artères, liée à un « encrassement » avec comme risque de boucher cette artère et d’empêcher le sang de passer.
Méthode douce, non-traumatisante
Qui se développe à l’aide de ses éléments propres, sans secours extérieur.
Une biopsie consiste en le prélèvement d’un petit morceau d’organe (peau, rein, poumon…). L’analyse au microscope permet de déterminer l’origine de l’inflammation.
Les traitements biologiques sont des mĂ©dicaments qui agissent directement sur les mĂ©canismes en cause dans de nombreuses maladies chroniques inflammatoires, dont certains rhumatismes. Ils ciblent spĂ©cifiquement les molĂ©cules responsables de l’inflammation et de l’Ă©rosion articulaire.
Les capillaires sont des tous petits vaisseaux qui font le lien entre les artères et les veines.
Element de base biologique qui structure les tissus ou organes des ĂŞtres vivants
Les macrophages, les lymphocytes T et B. Ces dernières produisent les anticorps. Ces trois types de cellules peuvent communiquer entre elles. Des cytokines dont les plus connues sont l’Anti TNF, l’interleukine 1 et 6. Ces cytokines sont fabriquĂ©es par les cellules impliquĂ©es dans la dĂ©fense contre l’inflammation. Leur rĂ´le est de servir de messager c’est-Ă -dire de transporter un message Ă distance et d’aider dans l’élimination de l’agresseur.
Indique que le symptĂ´me dure depuis plus de 3 mois.
La colite désigne une inflammation de la muqueuse du gros intestin et se traduit par différents troubles intestinaux. La colite correspond à une inflammation de la muqueuse du gros intestin (côlon) et se traduit par différents troubles intestinaux, entre autres, par une diarrhée et par des douleurs abdominales
Le coping est en quelque sorte la manière utilisĂ©e par les individus pour apprĂ©hender le facteur de stress. Le coping, au final, englobe l’Ă©motion produite et le mĂ©canisme ou si l’on prĂ©fère le plan d’action mis en place pour s’adapter Ă ce stress.
Ils désignent une famille de substances (hormones) proches de la cortisone. Ils peuvent être naturels (produits par les glandes surrénales) ou de synthèse (apportés par les médicaments). Les corticoïdes naturels sont nécessaires au métabolisme cellulaire. Les corticoïdes de synthèse sont utilisés dans de multiples pathologies en raison de leur vertu anti-inflammatoire.
La crĂ©nothĂ©rapie ou cure thermale correspond Ă l’« l’utilisation des eaux minĂ©rales naturelles dans un but thĂ©rapeutique ». Elle dure trois semaines (18 jours) et se dĂ©roule dans une station thermale
Les cytokines sont des glycoprotĂ©ines, des molĂ©cules constituĂ©es Ă la fois de glucides et de protĂ©ines. Certaines sont produites naturellement par certains types de globules blancs et sont capables de communiquer entre elles pour gĂ©nĂ©rer des rĂ©actions globales. D’autres ont des actions dans la lutte contre les phĂ©nomènes inflammatoires, ou de diminution des mĂ©canismes de l’immunitĂ© c’est-Ă -dire de la dĂ©fense de l’organisme. Certaines ont un effet agissant contre des virus. Enfin des cytokines autorisent la spĂ©cialisation de cellules Ă partir d’une cellule souche. Les cytokines sont Ă©galement utilisĂ©es en thĂ©rapeutique pour traiter certaines infections, des maladies auto-immunes ou des cancers.
L’échographie est une méthode d’exploration non invasive qui repose sur l’utilisation des ultrasons. Les échos renvoyés par les organes, permettent en effet de visualiser ce qui est invisible à l’œil, voire aux rayons X.
Examen ayant l’objectif d’étudier le sommeil sur un plan physiologique, en procĂ©dant Ă l’enregistrement simultanĂ© de donnĂ©es cardiaques, musculaires, cĂ©rĂ©brales et respiratoires.
L’enthĂ©site est l’atteinte inflammatoire d’une enthèse, ou insertion d’un tendon.
Petite protéine qui intervient dans les réactions chimiques du corps
L’ergothĂ©rapie est une spĂ©cialitĂ© paramĂ©dicale destinĂ©e aux personnes souffrant de handicaps, notamment ceux d’ordre moteurs et psychomoteurs. L’ergothĂ©rapeute aide les patients, notamment ceux en perte d’autonomie, dans leur vie quotidienne, professionnelle, ou scolaire, Ă se rĂ©adapter Ă leur cadre de vie, Ă l’aide de diffĂ©rents types de soins, de conseils et d’activitĂ©s Ă©ducatives.
Le facteur rhumatoĂŻde (FR) est une protĂ©ine anormale possĂ©dant une activitĂ© d’auto-anticorps, c’est-Ă -dire d’un anticorps d’un organisme rĂ©agissant contre les propres cellules de cet organisme.
La fibrose intervient souvent Ă la suite d’une lĂ©sion tissulaire ou d’une inflammation d’un tissu oĂą ceux-ci ne se rĂ©gĂ©nèrent pas correctement : les tissus initialement sains sont alors remplacĂ©s par un tissu fibreux. Le tissu perd alors sa souplesse, son Ă©lasticitĂ©, il devient plus rigide ; on parle alors de sclĂ©rose.
Lors d’une lĂ©sion tissulaire, l’Ă©volution normale se fait vers la cicatrisation, c’est-Ă -dire le remplacement des cellules mortes par des cellules identiques dont les fonctions sont conservĂ©es.Â
Disparition complète et persistante des symptômes, et ce malgré l’arrêt des traitements, au cours de cette pathologie
L’hypertension artĂ©rielle pulmonaire (ou HTAP) est une complication rare, souvent plus tardive. L’HTAP est dĂ©finie par l’augmentation de la pression du sang dans les artères pulmonaires qui fait suite Ă l’obstruction progressive des petits vaisseaux pulmonaires (artĂ©rioles). Ces vaisseaux s’Ă©paississent et se bouchent progressivement, laissant moins bien passer le sang qui normalement doit retourner vers le cĹ“ur.
Perception anormalement importante de stimulations douloureuses
L’hypertension artĂ©rielle pulmonaire (ou HTAP) est une complication rare, souvent plus tardive. L’HTAP est dĂ©finie par l’augmentation de la pression du sang dans les artères pulmonaires qui fait suite Ă l’obstruction progressive des petits vaisseaux pulmonaires (artĂ©rioles). Ces vaisseaux s’Ă©paississent et se bouchent progressivement, laissant moins bien passer le sang qui normalement doit retourner vers le cĹ“ur.
L’hĂ©rĂ©ditĂ© est la transmission, au sein d’une espèce vivante ou d’une lignĂ©e de cellules, de caractĂ©ristiques d’une gĂ©nĂ©ration Ă la suivante.
Se dit d’une maladie ou d’un symptĂ´me dont la cause est inconnue
Les infiltrations consistent Ă injecter localement un mĂ©dicament, le plus souvent un anti-inflammatoire de la famille des corticoĂŻdes, dans la zone de la lĂ©sion Ă traiter. Le but est d’augmenter l’efficacitĂ© de ce mĂ©dicament par rapport Ă une prise par voie orale.
Altération du fonctionnement des reins, pouvant entrainer des anomalies de filtration et d’élimination des produits du métabolisme comme urée… : et de l’eau qui s’accumule dans les tissus au lieu d’être éliminé sous forme d’urine.
La kinĂ©sithĂ©rapie est une spĂ©cialitĂ© paramĂ©dicale qui permet Ă un professionnel diplĂ´mĂ© de travailler sur diffĂ©rentes formes de rééducation, le renforcement musculaire, la mobilitĂ© et l’endurance d’un patient. La kinĂ©sithĂ©rapie est très utilisĂ©e Ă la suite d’une blessure, d’une intervention chirurgicale ou d’un Ă©vĂ©nement traumatisant pour le corps humain. La kinĂ©sithĂ©rapie concerne aussi bien le squelette que les fonctionnalitĂ©s de l’organisme. Elle amĂ©liore la qualitĂ© de vie du patient.
C’est un cancer du système lymphatique qui se manifeste par une augmentation de volume des ganglions de façon indolore.
Une maladie (ou syndrome) auto-inflammatoire est une maladie qui se caractĂ©rise par une rĂ©action anormale du système immunitaire innĂ©. Outre les agents infectieux (virus, bactĂ©ries), l’organisme attaque Ă©galement des substances ou des tissus qui le composent. Ces maladies se manifestent par des crises de fièvre, des douleurs abdominales et articulaires, des Ă©ruptions cutanĂ©es et des troubles de la vision.
Une maladie inflammatoire dĂ©signe la prĂ©sence d’une inflammation pouvant toucher la plupart des organes et tissus du corps humain : système digestif, système nerveux, Ă©piderme, articulations…
La sensation de miction est un mĂ©canisme naturel destinĂ© Ă vider la vessie. Une miction impĂ©rieuse provient gĂ©nĂ©ralement d’une augmentation de la production d’urine, par exemple en cas de diabète, ou sous l’effet de mĂ©dicaments diurĂ©tiques Ă la suite d’une insuffisance cardiaque ou d’hypertension. L’irritation de la muqueuse en cas d’inflammation des voies urinaires ou de la prostate, ou bien en cas d’autres maladies du système urogĂ©nital, entraine souvent une miction impĂ©rieuse.
Se réfère à une pathologie dont les symptômes sont aggravés par l’effort et améliorés par le repos.
Le neuromédiateur ou médiateur chimique est une substance chimique (appelée également neurotransmetteur), fabriquée par l’organisme et permettant aux cellules nerveuses (neurones), de transmettre l’influx nerveux (message), entre elles, ou entre un neurone et une autre variété de cellules de l’organisme (muscles, glandes).
caillot de sang qui bouche une veine. Le risque s’il se détache est de boucher les vaisseaux des poumons et d’entrainer une embolie pulmonaire.
Relatif Ă la plèvre, c’est-Ă -dire la membrane qui enveloppe les poumons au niveau de la paroi du thorax.
Anomalie pulmonaire comprenant des lésions de la paroi de l’alvéole, vaisseaux compris.
PrĂ©lèvement de liquide prĂ©sent au niveau de l’articulation Ă l’aide d’un trocard avec ou sans seringue.
Un terrain génétique favorisant le déclenchement de la maladie, ce qui explique l’existence de familles où plusieurs personnes sont malades, mais ce n’est pas à proprement parler une maladie génétique
Le psoriasis est une maladie inflammatoire de la peau. Il se caractĂ©rise gĂ©nĂ©ralement par l’apparition d’Ă©paisses plaques de peau qui desquament (qui se dĂ©tachent sous formes « d’écailles » blanches). Les plaques apparaissent Ă diffĂ©rents endroits du corps, le plus souvent sur les coudes, les genoux et le cuir chevelu. Elles laissent des zones de peau rouge.
Absence d’activitĂ© de la maladie.
La fibrose intervient souvent Ă la suite d’une lĂ©sion tissulaire ou d’une inflammation d’un tissu oĂą ceux-ci ne se rĂ©gĂ©nèrent pas correctement : les tissus initialement sains sont alors remplacĂ©s par un tissu fibreux. Le tissu perd alors sa souplesse, son Ă©lasticitĂ©, il devient plus rigide ; on parle alors de sclĂ©rose.
Lors d’une lĂ©sion tissulaire, l’Ă©volution normale se fait vers la cicatrisation, c’est-Ă -dire le remplacement des cellules mortes par des cellules identiques dont les fonctions sont conservĂ©es.Â
Il s’agit d’un outil d’incapacité fonctionnelle spécifique de la polyarthrite rhumatoïde. L’évaluation porte sur la semaine écoulée et porte sur 8 domaines étudiant l’activité physique. Pour chacun des domaines d’activité, 2 à 3 items sont décrits. Quatre types de réponses sont possibles : cotation de 0 à 3 (sans aucune difficulté, avec quelque difficulté, avec beaucoup de difficulté, incapable de le faire). Un score global de « 0 » signifie l’absence d’incapacité, alors qu’un score à « 3 » correspond à une incapacité maximale.
Relatif au corps dans sa dimension physique, par opposition à sa dimension psychique; Relatif au soma, aux cellules non reproductrices
La sophrologie est une technique de dĂ©veloppement personnel, qui s’intĂ©resse Ă l’Ă©tude de la conscience individuelle, dans une approche phĂ©nomĂ©nologique visant Ă tenir compte de l’historicitĂ© de chacun.
La spasmophilie est un syndrome caractérisé par une prédisposition aux crises de tétanie. La spasmophilie est liée à une hyperexcitabilité neurologique des muscles, intermittente et qui survient par des crises dont les symptômes peuvent varier.
Les squames sont des fines lamelles Ă©pidermiques provenant de la couche la plus externe de l’Ă©piderme (stratum corneum), qui se dĂ©tachent de la peau lors de certaines affections, comme l’eczĂ©ma, un coup de soleil ou la rougeole. Cette chute des squames est appelĂ©e desquamation.
Indique que le symptĂ´me dure depuis plus de 6 semaines et depuis moins de 3 mois.
La substance P est le premier neuropeptide Ă avoir pu ĂŞtre purifiĂ© sous forme de poudre, d’oĂą son appellation (P pour poudre). Elle joue un rĂ´le essentiel dans le système nerveux central oĂą elle assure plusieurs fonctions. D’une part elle rĂ©gule l’anxiĂ©tĂ© et les troubles de l’humeur. D’autre part, elle intervient dans le mĂ©canisme de la douleur en permettant l’activation des neurones transmettant les informations douloureuses. En raison du rĂ´le qu’elle joue dans les nausĂ©es, certains mĂ©dicaments consistent Ă bloquer les rĂ©cepteurs de la substance P pour empĂŞcher les vomissements.
Augmentation des marqueurs sanguins de l’inflammation, comme la protéine C réactive (CRP) supérieure à 10 mg/l, et/ou la vitesse de sédimentation (VS) supérieure à 10 mm la 1ère heure
Le système immunitaire regroupe l’ensemble des processus et des mĂ©canismes de dĂ©fense mise en oeuvre par un organisme pour lutter contre l’attaque d’Ă©lĂ©ments Ă©trangers. Lorsque le système immunitaire est sollicitĂ©, on parle alors de rĂ©ponse immunitaire.
Activité physique faible ou nulle
La sĂ©rotonine est un neurotransmetteur, substance qui permet de transmettre l’influx nerveux entre les neurones.
Maladie auto-immune de la thyroïde avec sécrétion d’auto-anticorps contre les cellules thyroïdiennes  les plus fréquentes étant la maladie de Hashimoto et la maladie de Basedow
Une uvĂ©ite est une inflammation de l’uvĂ©e (iris, corps ciliaires et /ou choroĂŻde).
fièvre jaune, ROR, BCG
Structures mobiles dans le cœur, jouant le rôle de « portes battantes », qui oblige le sang a toujours aller dans le même sens dans le cœur et l’empêche ainsi de repartir en arrière
Structures mobiles dans le cœur, jouant le rôle de « portes battantes », qui oblige le sang a toujours aller dans le même sens dans le cœur et l’empêche ainsi de repartir en arrière.